De la même façon que je suis partisan d’une écriture la plus inclusive possible, comme j’ai pu l’indiquer dans de précédentes newsletters (ou sur cet article), je suis plutôt favorable à la critique de certains biais racistes qui peuvent exister dans les jeux de rôles, et en particulier Donjons & Dragons.

J’avais déjà soufflé quelques mots sur la question lors des premières semaines de Scribes & Dragons, tout en précisant qu’il était encore un peu tôt pour moi pour m’exprimer sur le sujet.

Je suis donc plus que ravi que Gus, du site Gus & Co, se soit exprimé sur la question au travers de la traduction d’un article intelligent, efficace et documenté de WIRED.

Pour moi, il est vital pour notre société actuelle de questionner ces sujets, de les observer, les analyser et voir en quoi ils ont pu et peuvent encore affecter nos pratiques.

Dire que Donjons & Dragons contient encore aujourd’hui des biais racistes est important et nécessaire. Cela fait-il de ses auteur·e·s, joueuses et joueurs des personnes racistes ? Certainement pas, et ce n’est pas ce que disent les personnes qui émettent ces critiques.

J’ai fait très attention à cette question lors de l’adaptation de la table sur les moqueries cruelles. Je m’interroge d’ailleurs encore sur l’une d’entre elles, puisqu’elle repose sur un cliché concernant un peuple classique des univers de D&D.

Quinn Jolinar

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